Dans le Marvel Cinematic Universe, il n’y a pas que Thor, Spiderman et Iron Man, il y a aussi le plus fun des antihéros, Deadpool. Tim Miller laisse place à David Leitch, un ancien cascadeur et maintenant réalisateur ayant travaillé sur Atomic Blonde et John Wick. Vu le carton du premier épisode, il ne faut pas se louper sur le deuxième, c’est encore un pari réussi par les producteurs de chez Marvel qui continuent de créer succès après succès.
Dans le premier épisode, l’histoire semblait très simple pour laisser place à un humour débile mais efficace. Dans le second, l’histoire prend le dessus et l’humour a plus d’impact et plus de logique sur l’intrigue principale.
Deadpool et Firefist, un orphelin abusé par ses tuteur qui a le pouvoir d’invoquer et controler le feu, sont envoyé au blockos, une prison pour mutants. Ce premier réussi à s’en évader et décide de créer une petite ligue de justicier pour sauver l’enfant, la X-Force. Pendant ce temps, Cable, un personnage venu du futur, a pour mission de tuer Firefist avant qu’il ne devienne surpuissant.
Zazie Beetz incarne Domino au sein de la X-Force qui a un étrange pouvoir de chance qui nous reste encore assez mystérieux mais qui sait aussi se battre avec une technique irréprochable.
Cable qui est incarné par Josh Brolin, l’acteur qui joue Thanos dans les films Marvel est la bonne dose de charisme qui relève le côté un peu plus sérieux du film, même on reste dans un délire total.
Pour les connaisseurs de comics, on retrouve aussi Juggernaut qu’on a vu dans X-Men. Un fléau plus dangereux, évadé de prison et très puissant.
Après un Infinity War avec une intrigue dramatique, les producteurs de Marvel nous redonnent un peu d’optimisme accompagné de pas mal de violence.
Cette relance nous permet de penser que Deadpool et les X-men sont bien en vie dans le MCU en plus de Captain Marvel. De quoi garder les fans de la première heure et de ne cesser de les surprendre d’avantage.
Quentin DUPORT
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